Votre vélo doit impérativement être équipé de freins efficaces, de pneus gonflés et non usés, d’un éclairage homologué et d’une sonnette pour signaler votre présence. Le gouvernement encourage la pratique du vélo en offrant sous conditions une prime de 50 € pour les réparations de ce dernier.
La trottinette électrique fait partie des EDPM (engins de déplacement personnel motorisé). Il faut vérifier régulièrement qu’il n’y a pas de défaut sur le système de freinage et d’éclairage, le niveau de la batterie et les visseries (système de pliage, jeu dans la roue, cadre et guidon).
Le casque, obligatoire pour les moins de 12 ans et fortement conseillé pour les autres, doit être attaché et conforme à la réglementation. Portez un équipement (gilet, brassard…) rétroréfléchissant, pratique dès que la luminosité faiblit et obligatoire hors agglomération.
Vous pouvez également installer un écarteur de danger à l’arrière et à gauche du vélo, un rétroviseur et des catadioptres sur les pédales et les rayons des roues. Pensez aussi aux pneus à bandes latérales réfléchissantes !
Pour bien cohabiter sur la route, empruntez les pistes cyclables (obligatoires pour les trottinettes électriques et recommandées pour les vélos). Les trottoirs sont interdits (sauf pour les moins de 8 ans à vélo) et les voies de bus sont autorisées si un panneau l’indique. La trottinette électrique, réservée aux plus de 12 ans, ne peut dépasser une vitesse de 25 km/h et on ne peut prendre de « passager ».
Circulez le plus possible sur la voie de droite, sans frôler le trottoir et les voitures garées. Il faut aussi doubler par la gauche et signaler ses changements de direction. Enfin, retirez vos écouteurs pour garder une oreille attentive à votre environnement !