Avant d'investir dans une VMC, on choisit le modèle qui convient à son type d'habitation. Economique et performante, la VMC simple flux, autoréglable ou hygroréglable, est la technologie de ventilation la plus simple. Elle aspire l'air ambiant et l'évacue à l'extérieur. Des bouches d'entrée d'air font pénétrer l'air extérieur, créant ainsi une circulation dans le logement. Plus coûteuse, la VMC double flux permet de réaliser des économies d'énergie importantes. Elle apporte un meilleur confort ainsi qu'une filtration de l'air entrant.
Afin de travailler en sécurité, on coupe le disjoncteur et on vérifie le matériel nécessaire. Une VMC simple flux, par exemple, est composée d'un groupe d'extraction, de bouches d’extraction et de manchettes ainsi que de gaine. On commence par le raccord électrique du groupe d'extraction puis on le fixe en respectant la notice du constructeur. Une fois le caisson en place, on y emboite les gaines. On prévoit une bouche d’extraction par pièce humide (cuisine, salle de bain, WC, buanderie...).
Pour maintenir le bon fonctionnement de sa VMC et prolonger sa durée de vie, on procède à un nettoyage rigoureux régulier. L'entretien de l'appareil et des conduits se fait une fois le courant coupé pour éviter tout risque d'électrocution. On dépoussière l'ensemble avec un chiffon microfibre et on lave les parties démontables (grilles, ventilateur et filtres) au vinaigre blanc. On veille à bien sécher avant remise en place.